Dans un communiqué du 14 décembre 2009, déi gréng ont déclaré que le Luxembourg continue à avoir de mauvaises notes dans la lutte contre le changement climatique. Ils se sont basés sur l’Indice de lutte contre le changement climatique (Klimaschutz-Index) 2010 de Germanwatch, une association qui s’engage pour la justice globale et le maintien des ressources naturelles, selon lequel le Luxembourg s’est classé en 52e place parmi 57 pays, et même en dernier rang parmi les pays européens.
D'après l’étude, qui a évalué l’évolution et le niveau des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que la politique climatique des différents pays, le Luxembourg a seulement connu une légère amélioration par rapport à l’année précédente. Pour déi gréng, "il reste donc beaucoup à faire dans le cadre du plan d’action national promis par le nouveau gouvernement". Et d’ajouter que "de tels résultats ne sont pas bon signe en matière de conversion nécessaire de l’économie luxembourgeoise vers des industries écologiques qui maintiennent les emplois". Le gouvernement devrait donc selon déi gréng "positionner le Luxembourg en tant que marché innovateur et positif", notamment dans le domaine des énergies renouvelables, des technologies environnementales et des placements financiers durables, "s’il veut que le revirement nécessaire aura lieu".